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Usages Publics du Passé

Usages Publics du Passé

Martha Rodríguez ©

La construcción de relatos sobre el pasado no es patrimonio exclusivo – y en numerosos casos ni siquiera dominante- de la historiografía profesional, aunque esta alegue en su favor la posesión de protocolos de trabajo y análisis que garantizarían su capacidad para hacerlo.

Fernando J. Devoto ©

La construcción de relatos del pasado que exploraban las raíces y las singularidades de distintos grupos humanos,

uis Sanfelippo ©

Introducción del trauma en la historia.

Decir que el interés por la problemática de la memoria ha crecido en los últimos treinta años en la Cultura Occidental no constituye ninguna novedad. Se habla de una “gran ola de la memoria” (Hartog, 2003, p. 16), de una “obsesión por la memoria” (Traverso, 2007, p. 69), de una “empresa conmemorativa proliferante y multiforme.” (Revel, 2005 -2000-, p. 271).

Pedro Ruiz Torres ©

En lo que va de siglo, la dimensión pública del pasado de la Guerra Civil (1936-1939) y la dictadura del general Franco (1939-1975) ha enfrentado a los historiadores. No se trata de la clásica disputa por el conocimiento del pasado, ni de un problema de fuentes o de métodos, de explicación o de comprensión de los hechos históricos. Aquello que está en el centro de la polémica ha sido la repercusión de ese pasado en nuestros días, la presencia selectiva y el uso público de un pasado, el de la Guerra Civil y la dictadura de Franco, que sigue vivo en la sociedad española.

Johann Michel ©

Dans la mesure où les groupes nationaux n’ont rien de naturel, dès lors qu’ils sont le produit d’une longue construction historique faite d’annexions de territoires et de populations, il revient traditionnellement à l’autorité politique de gommer cette contingence en naturalisant l’ordre national. On peut parler de politiques symboliques pour désigner l’ensemble des dispositifs et des actions mis en œuvre par les autorités publiques pour fabriquer une image idéalisée et consonante de l’ordre national et procéder en même temps à une auto-légitimation du pouvoir en place.

Olivier Abel ©

On se le demande. Et puis on l’écarte très vite, parce qu’on ne fait pas d’histoire, ni de l’histoire, avec de la morale et moins encore des sentiments religieux. Si d’ailleurs il y avait une morale respectable, ce serait celle de la discussion, qui oblige les convictions religieuses à passer par une chambre de décontamination : le pardon, croit-on, passe mal l’épreuve de l’universalisation.

Atelier International de Recherches sur les Usages Publics du Passé Programme de Recherches Interdisciplinaires de l’EHESS — Paris Sabina Loriga © Sabina.loriga[at]ehess.fr Télécharger ce document (pdf 354 ko) Télécharger le flyer des journées (pdf 489 ko) Remarques introductives I. La question du trauma nous accompagne depuis longtemps. Nous l’avons abordée pour la première fois en […]

Olivier Abel ©

Cette « réflexion critique » a été écrite en 1994. Elle renvoie à un débat qui a eu lieu au séminaire Temps, mémoires, histoire et est à lire en écho à la « brève » de Charlotte Baratin « De Byzance à Instanbul ».