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Usages Publics du Passé

Usages Publics du Passé

Semaine du 12 au 19 décembre 2015.

Potentats africains vacillant après trois décennies de domination, villes millénaires agitées par la géopolitique moderne, dirigeants politiques bien en vue rattrapés par le passé d’activiste qu’on leur prête… le passé affleure à la surface mouvante de l’actualité, qu’elle tienne à la marche du monde ou à l’anecdote. Regards sur la toile, française et internationale, où les lignes de fuites du présent nous ramènent aux réminiscences du passé

Martin Mourre ©
Publié le 11 janvier 2016

Cet article entend revenir sur la, ou plutôt les, figure(s) du tirailleur africain, puis de l’ancien combattant, dans l’espace public[1] sénégalais depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu’à aujourd’hui.

Jérôme Souty ©
Publié le 16 décembre 2015

Dans les quartiers du vieux port de Rio de Janeiro, actuellement objet d’une grande opération d’urbanisme, le débarcadère des esclaves du Valongo et le quai de l’Impératrice ont été « redécouvert » en 2011.

Josefina Elizalde ©
Publié le 9 novembre 2015

Melissa Vassilakis ©
Publié le 9 novembre 2015

Décembre 2008, tous les Grecs s’en souviennent : l’événement est récent, intense et violent. Le 6 décembre, un policier assassine le jeune Alexandros Grigoroupoulos âgé de 15 ans.

Les textes présents dans ce dossier ont pour point de départ le colloque « Quels usages publics des Lumières » organisé les 20 et 21 juin 2013 par l’Atelier international de recherche sur les usages publics du passé, avec le soutien du département d’histoire de l’École normale supérieure et du Fonds Ricoeur.

Marxiano Melotti ©
Publié le 16 juin 2015

During the nineteenth century there was an explosion of activities in costume and historical re-enactments of some special events. They enriched the processes of identity construction and made the reinvention of the past much more effective, also thanks to their experiential character.

Lorenzo de Sabbata ©
Publié le 15 juin 2015

Dans son ouvrage « Peuples exposés, peuples figurants », Georges Didi-Huberman livre une analyse très touchante d’une photographie de 1871, attribuée à Adolphe-Eugène Disdéri, qui fait le portrait de douze cadavres de communard, chacun dans son cercueil, fusillés par les soldats durant les derniers jours de la Commune.

Gaetano Ciarcia ©
Publié le 25 mai 2015

Aujourd’hui, au Bénin, dans la ville de Ouidah, qui, au 18ème et 19ème siècles, fut un des plus importants comptoirs négriers d’Afrique, les diverses mémoires de l’esclavage, qu’il est possible de recueillir, sont confrontées à une contradiction pouvant être embarassante ou douloureuse.